Les amarres sont larguées: le Royaume-Uni s’est embarqué mercredi pour un voyage historique et “sans retour” hors de l’Union européenne qui se retrouve fragilisée par un Brexit aux conséquences sismiques et imprévisibles.
Au même moment à Londres, la Première ministre Theresa May annonçait devant les députés du Parlement de Westminster qu’il n’y aurait “pas de retour en arrière”.
Elle a appelé le peuple britannique, Ecossais en tête, à se “rassembler” pour obtenir “le meilleur accord possible”.
Les amarres sont larguées: le Royaume-Uni s’est embarqué mercredi pour un voyage historique et “sans retour” hors de l’Union européenne qui se retrouve fragilisée par un Brexit aux conséquences sismiques et imprévisibles.
Neuf mois après un référendum qui continue à diviser le pays, la lettre de divorce a été transmise au président du Conseil européen Donald Tusk par l’ambassadeur britannique à Bruxelles Tim Barrow, déclenchant formellement la procédure de sortie.
“Vous nous manquez déjà”, a lancé un Donald Tusk visiblement éprouvé en brandissant la lettre devant la presse. “Il n’y a aucune raison de faire comme si c’était une journée heureuse, ni à Bruxelles ni à Londres”, a-t-il ajouté en voyant ainsi ébranlé le projet européen, né sur les cendres de la Seconde Guerre mondiale.
Au même moment à Londres, la Première ministre Theresa May annonçait devant les députés du Parlement de Westminster qu’il n’y aurait “pas de retour en arrière”.
Elle a appelé le peuple britannique, Ecossais en tête, à se “rassembler” pour obtenir “le meilleur accord possible”.
A l’extérieur des bâtiments du Parlement, Nigel Farage, ancien leader du parti europhobe Ukip et grand architecte du Brexit, pavoisait: “On est les premiers à sortir. C’est historique. L’Union européenne ne s’en remettra pas.”
Au même moment à Londres, la Première ministre Theresa May annonçait devant les députés du Parlement de Westminster qu’il n’y aurait “pas de retour en arrière”.
Le Royaume-Uni est le premier pays à rompre les amarres avec l’Union, après 44 ans de mariage contrarié.
Elle a appelé le peuple britannique, Ecossais en tête, à se “rassembler” pour obtenir “le meilleur accord possible”.
A l’extérieur des bâtiments du Parlement, Nigel Farage, ancien leader du parti europhobe Ukip et grand architecte du Brexit, pavoisait: “On est les premiers à sortir. C’est historique. L’Union européenne ne s’en remettra pas.”
Source: AFP