Le ministre sortant de l’Information, Ziad Makary, a affirmé que “la célébration de la déclaration de Beyrouth comme capitale des medias arabes constitue une occasion de dire aux Arabes, au monde et a l’intérieur du Liban que Beyrouth est toujours la capitale des medias, et nous l’avons toujours considérée comme une étoile brillante dans le ciel du monde arabe et un flambeau de la liberté et de la presse. Aujourd’hui, c’est l’occasion de jeter la lumière sur ce grand héritage et nous sommes obligés de poursuivre notre démarche et de préserver cet héritage.

Le ministre Makary a expliqué : “Les jeunes sont invités de se profiter de cette occasion afin de diffuser leur enthousiasme pour préserver et développer l’héritage, et ainsi élever la flamme et continuer d’avancer”.

Il a souligné que « la Tunisie a été la première au cours de l’année dernière au niveau des médias arabes, et le Liban s’est classé deuxième. Aujourd’hui, la Tunisie a reculé, tandis que le Qatar nous a précédés, et nous avons avancé de 11 degrés en 2023, et c’est notre fierté ». .”

En ce qui concerne la nouvelle loi sur les médias, il a expliqué qu’« elle est à un stade avancé et après une courte période, nous en enverrons une version finale révisée à la Chambre des députés », soulignant qu’« il n’y a pas jusqu’à maintenant un tribunal des publications en raison des progrès technologiques rapides et du manque de publications»

Efin il a estimé que “les médias au Liban ne connaissent pas de déclin, mais on confond la communication sociale, avec des millions de followers, et l’institution médiatique, et cela ne s’appelle pas des médias, mais plutôt une communication sociale qui n’a rien à voir avec les médias”. . Les médias comprennent les institutions électroniques dans lesquelles un comité de rédaction travaille avec une garantie pour les employés, comme les journaux électroniques.